Prénom :Adrien
Surnom:Minifoie
Sexe:homme
Date de décès:01 avril 2005
Préférence sexuelle:hétéro
Race:fantome
Activité, emploi : coursier moto
pouvoir: dématérialisation, invisibilité
Physique: De son vivant minifoie ressemblait à un maigrichon de petite taille, qui portait élégamment un bouc bien taillé et de longs cheveux qu'il attachait en une longue natte qui lui descendait en bas du dos. Après sa mort il a pris l'apparence d'un motard costaud, dont la tête est le symbole qu'il portait sur son blouson de moto: un crane enflammé, vetu du cuir de moto qu'il portait à sa mort et des chaines dans lesquelles on l'a retrouvé
Mental: vivant, minifoie était ce qu'on pouvait appeler un rigolo, fetard et dont la devise est :"on pleurera quand on sera mort", il faut avouer que son décès n'a pas arrangé son gout pour l'humour sous toutes ses formes loin de là: rien ne lui plait plus qu'une bonne tranche de rire, il n'a pas pris cette apparence pour rien. le seul truc qu'il regrette c'est de ne plus pouvoir prendre de grosses cuites comme il le faisait de son vivant. mais pour le reste il a des sacrées compensations, comme celle de pouvoir assouvir son penchant malsain pour l'humour le lus trash possible.
Histoire: Minifoie était coursier à moto. Dans ses 38 ans de vie il ne perdait jamais une occasion pour la déconne, pour lui plus c'était grave, plus c'était drole. même la date de sa mort parait idéale: il est mort un premier avril comme une énorme blague, même la circonstance de sa mortest une énorme blague: il avait une livraison quand il a déboité devant un énorme camion: pendant le doublement un cable a volé qui lui a tranché net la tete mais il ne s'est pas arreté, on l'a retrouvé à 25km de là dans un champ, accroché dans un arbre quand il n'avait pas pris le virage: même mort il a filé a cause de la raideur cadavérique jusqu'à un obstacle. Il parait même que ça a été son meilleur chrono sur la portion, meilleure que celle du ghost rider et du prince noir réunis. mais parait que ces eflures du guinesse bouc ont refusé de l'homologuer sous prétexte qu'il était mort. Si jamais ils les tenaient ceux là...